Intervenir ou "la place du maître" : lâcher du lest !

"Toute intervention du maître est une barrière à l'établissement d'une école du 3ème type." ! (propos extrait d'un échange)

Bigre ! C'est peut-être excessif et cela se discute et se discutera très certainement. Mais c'est l'essence même de l'acte éducatif lui-même qui se trouve mis en question devant cette simple interrogation sur la place du maître.

Position, posture, action

NB : la capitalisation des échanges n'ayant pu démarrer que début octobre, un certain nombre de messages précédant cette période ne sont pas inclus. Nous nous en excusons.

Quoi faire avec les enfants "en difficulté"

Emilie

Je suis d'accord avec ce que tu dis sur la difficulté, un enfant est en difficulté pour moi lorsqu'il ne progresse plus ou qu'il régresse de façon visible par rapport à son champ à lui de compétences (encore que la régression fait aussi partie de l'apprentissage, là je parle de grosse régression: ne plus savoir lire "la" en rentrant en CE2 après les grandes vacances par exemple, véridique).

D'accord aussi pour aider les élèves en créant une ambiance qui les met en confiance, etc... Je pense que c'est tous ce qu'on cherche à faire en classe.

Par contre là où ca me pose problème et à cause de quoi j'ai très mal dormi (!) c'est que pour moi ce n'est pas suffisant pour ces élèves en grandes difficultés (appelle ca comme tu veux mais on est d'accord qu'il y en a?). La question n'est pas de savoir si on les aide pendant les cours, pendant le soutien, seulement pendant le soutien.... c'est plutôt que faire avec eux pour les aider? 
Je ne sais pas comment chacun apprend mais ce qui est sûr c'est qu'il y a plein de formes différentes d'apprentissage. La confiance et l'intérêt sont sûrement les plus gros moteurs mais je me dis qu'il n'y a pas que ça. J'ai pas toujours été passionnée pour apprendre. Y'a plein de choses que j'ai apprises aussi par imitation, par transmission, à l'école, à la télé, à la radio... Est-ce que vous vous refusez à utiliser ces techniques pour apprendre un truc à un gamin?
Moi je me dis que les élèves qui n'ont pas de gros soucis, qui ont encore de la curiosité à revendre, qui avancent, pour eux pas de souci ils vont apprendre un tas de choses en se laissant guider par leurs besoins, leurs centres d'intéret... Et à la fin de l'école y'a de très fortes chances qu'ils aient acquis toutes les compétences du programme, s'il n'est pas trop mal foutu! Et d'ailleurs ces gamins là ils se débrouillent dans n'importe quelle structure.

Après y'a ceux qui ont envie d'apprendre, mais comme ca, de temps en temps et qui se laissent un peu vivre. Pour un tas de raison: pas disponible dans leur tête, pas confiance, tout ce que tu cites mais aussi des gamins qui vont bien mais qui ne sont pas assez passionnés ou lent ou ?.... Ils ne sont pas en difficulté encore, juste très lent et du coup ils seront en difficulté par rapport à la norme très bientôt. Je suis d'accord à fond pour toute l'année, tous les jours travailler là-dessus, faire en sorte qu'ils trouvent cette envie d'apprendre mais je ne vais pas m'empecher non plus de leur imposer des choses, de les forcer à faire des choses même s'ils ne sont pas prêts à 100%. Y'a une alternance possible entre le forçage de temps en temps et l'évolution propre de chaque enfant, non?
C'est là que je doute à fond biensûr.... Mais moi ca me fait peur pour certains gamins de voir où ils en sont. La norme faut quand meme la prendre en compte, les "préparer à la 6eme" comme on dit, mais pas seulement, si c'est pas en 6eme qu'ils vont être rattrapés par la norme ce sera au lycée ou dans le monde du travail. En tant qu'instit on peut bien se fixer des objectifs pour les gamins non? Vous pensez que c'est vain?....  Mais non mais non!! c'est sûr on peut les aider quand meme, dans l'organisation, dans la formulation de certaines choses, arrêtez là! biensûr qu'on peut les prendre par la main quand meme????!!!! :) C'est quoi ce boulot sinon?!

Et il y a encore les élèves en grandes difficultés, ceux qui ne sont pas seulement lents, ou pas dedans ou inefficace mais qui régresse carrément ou stagnent. J'ai donc 2 élèves qui ne peuvent absolument pas lire ni écrire librement et ils vont avoir 10 ans. Le cadre proposé par la classe est propice à la confiance, à l'initiative j'espère mais c'est pas suffisant pour eux.
D'accord il faut qu'ils trouvent leur propre motivation etc mais en attendant??? D'accord ils développent d'autres langages, d'autres compétences, c'est vrai, ouf et heureusement pour eux et c'est la-dessus qu'on s'appuie qu'on les valorise etc.... MAIS et la lecture et l'écriture et l'expression orale???? C'est capital pour eux, pour toute leur vie. 

Et même pour les loupiots qui ne sont pas en difficulté particulière, l'enseignant peut bien diriger quand meme son apprentissage vous ne croyez pas? Ne pas faire que ca, on est bien d'accord, rien de tel qu'un engagement spontané d'un gamin mais bon, vous aussi vous apprenez des choses en étant un peu forcés? Moi j'ai plein d'exemples pour moi.
Je me dis que c'est aussi notre rôle d'avoir le recul, la norme en ligne de mire quand meme quand on approche des côtes, et de leur faire faire des choses qui nous semblent bien pour eux, de les informer de certains trucs. Et même, il y a un coté plus positif, pas seulement "mes petits faut qu'on vous prepare à la dure vie", celui d'apporter une contrainte qui va générer des trucs que l'enfant ne pouvait pas soupçonner (se forcer à aller à un cours de théâtre et être super content apres coup des émotions que ca aura provoqué chez nous, se forcer à courir tous lse jours pour finalement atteindre un vrai plaisir, se forcer à sortir et être ravi d'avoir fait connaissance avec quelqu'un...).

J'aimerais bien savoir ce que vous en pensez.
Et moi justement, le bordel dans ma tête concernant l'alternance des activités libres ou pas libres c'est ça, c'est où j'interviens, quand et pourquoi d'ailleurs?? Vas-y fais ton troisieme exposé sur les pokemon mais la prochaine fois on parle d'autre chose hein?!

Hier j'ai fait une séance piscine 3type! C'était un pur moment de plaisir! d'habitude on va à la piscine avec l'école privée, je m'occupe des petits et les grands rejoignent les autres, la piscine de 25m est divisée en 3 et voilà.
Hier l'école privée n'était pas là, on était 8 plus moi (de la MS au CM2) dans l'eau, la piscine pour nous!!!! Avec 2 maitres nageurs qui nous ont installé des lignes d'eau en zigzag dans la piscine. Y'avait tout pour qu'on passe un moment agréable et on ne s'en est pas privé! Au début pour lancer un peu l'ambiance j'ai proposé que chacun montre aux autres une chose qu'il aimait faire et ceux qui voulaient essayer d'imiter le faisait. On a eu des trucs vraiment marrants grâce à la différence d'âge (entre le grand qui fait une super pirouette dans l'eau vraiment épatante et le petit avec ses flotteurs qui essaie de faire des bulles!).
Ensuite ils ont joué, continué de faire les trucs qu'ils adorent, des petits ont découvert une corde tendue sur laquelle ils marchaient comme des équilibristes, des grands portaient des petits, les faisaient rire en faisant le requin, etc... Une petite n'a pas décroché du bord, elle marchait de long en large. Moi j'observais, ils n'avaient pas leur passeport mais ils venaient me dire quand il voulait savoir un truc et je pouvais les aiguiller un peu (si tu essaies de t'allonger ca marchera mieux), ou juste m'extasier.
Ensuite on a eu des ballons, des trucs à aller chercher au fond de l'eau, on a organisé un petit jeu de relais. Et puis un petit a commencé à s'aventurer dans l'espace grand bain avec les grands, ca s'est fait tout progressivement mais à la fin un petit de 5 ans avait découvert les plongeoirs et il n'arretait pas de sauter, super haut, super loin! Le truc qu'on aurait jamais fait normalement! Les petits de 4 ans étaient en plein milieu du bassin, à se marrer parce que les grands les éclaboussaient en sautant, l'hallucination!...
Et puis comme tout le monde était parti dans la partie grand bassin j'ai proposé à la petite scotchée de venir avec moi, elle m'a un peu agripée, quand j'avais plus pied j'ai bien failli y passer mais bon, on y est arrivées! Elle était toute contente je crois d'être là.
Donc, démonstration: faut bien les pousser un peu certains! ;)))

Réaction Bernard

 

Philippe R

On ne se refuse rien !!!
Je force, j'oblige - relativement souvent en début d'année - mais je n'ai alors jamais un objectif d'apprentissage à ce moment là, car j'ai constaté qu'on l'atteignait alors que très rarement.
J'ai plutôt un objectif au niveau du comportement du môme. Par exemple, quand il zappe ou qu'il fuit une activité. Mon objectif est de lui montrer qu'il est capable, qu'il se sente capable ou qu'il doit respecter le fonctionnement de la classe.
Je ne vais donc pas l'obliger à faire quelque chose de trop difficile pour lui, mais plutôt quelque chose qui va lui redonner confiance en lui.
En ce début d'année, je vais être chiant pour qu'il respecte le fonctionnement du PTA : inscrire l'activité qu'il fait, la terminer (à moins qu'il décide de l'abandonner mais, là, ça passe par une discussion entre lui et moi). L'obliger à respecter un fonctionnement, une organisation sur laquelle, par ailleurs, il peut prendre pouvoir en proposant des modifications à la réunion.

Quoi faire avec les enfants "en difficulté"

Bernard, réaction mess d'Emilie ci-contre

Tout est dans la piscine ! nager, marcher, écrire, lire... même chose.

C'est drôle, mais pour accompagner comme parent les enfants d'une classe du RPI à la piscine, il a fallu que j'aille faire un stage ! de 3 heures ! après plus de 30 ans de pratique de l'apprentissage collectif et multiâge de la natation directement en grand bassin et en atleliers libres, c'était un peu surréaliste, mais je conviens que cette séance était très bien menée et conçue et a été bénéfique pour les parents bénévoles qui découvraient d'une certaine façon ce qu'étaient les apprentissages. Et même le travail d'équipe !

Je suppose que ce que vous faites dans ta piscine Emilie doit être relativement semblable à ce qui est préconisé dans le Cher. Ce n'est pas ateliers libres, ce n'est pas forcément directement là où on n'a pas pied pour les non nageurs, c'est très structuré de façon à ce que personne n'ait peur (surtout pas les adultes) mais ce sont beaucoup de pistes offertes aux enfants pour se construire nageurs et barbotteurs jouissifs et ça induit un autre regard des adultes. La piscine et l'expérience menée m'a énormément aidé à comprendre tout le reste.

"Pousser"... un peu dans la flotte ? la plus vieille des trechniques d'apprentissage utilisée au bord des rivières, c'était balncer le môme à la flotte, là où il n'avait pas pied, et d'attendre qu'il s'en sorte (un vieux me racontait que non seulement il avait balancé son fils, pas trop loin des branches, et s'était barré !). Dans le tas, il y en a qui n'ont plus jamais remis le doigt de pied dans l'eau après ! Mais il y a mille façon de pousser sans pousser brutalement par derrière ! faut bien qu'on serve à quelque chose !

J'aime bien le concret ! dans les outils d'investigation, à côté de la visualisation de cette foutue structure qui déstructrure parfois enseignants et enfants (quand on la voit, on peut saisir ce qui ne va pas,  la modifier), il y a aussi la monographie de ce qu'on a appelé "un cas". De temps en temps on note ce que l'on a observé pendant une période sur "ce cas", ce qu'il  fait, comment il réagit, ce qu'il fait dans l'espace, fait pas, refuse de faire, s'amuse à faire, est avec les autres etc. Je comprends bien que dans tes 2 cas, c'est le problème du langage écrit qui t'inquiète. L'action à mener est impossible à imaginer si l'on se fixe sur seulement cela. Mais la succession de vidéos (une monographie, c'est un peu une vidéo écrite) prend alors du sens et peut indiquer l'action qu'on peut mener, soit dans le cadre général existant ou à modifier, soit directement avec l'enfant, les deux le plus souvent. S'il n'y avait pas de "cas", le métier ne serait pas passionnant !

Ta comparaison avec la piscine n'était pas innocente ! tu y as tout mis : la structure et ce qu'on peut y faire, l'observation, ton action ! La classe, c'est la même chose.

J'aimerais bien lire de temps en temps ce qui se passe pour tes deux mômes qui ne veulent ni rentrer dans l'eau, ni essayer de nager... zut ! je voulais dire écrire et lire !

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Si un enfant ne sait plus lire "la" en rentrant de vacances, cela ne veut pas dire forcément qu'il régresse : c'est peut-être qu'il ne savait pas lire "la" avant les vacances (mais sa maîtresse ne le savait pas et croyait) ou qu'il ne veut plus lire "la" après les vacances.

Pour le "la", tu as une autre hypothèse bien plus intéressante : "la", ça ne veut rien dire du tout ! "tutut", le bruit d'une trompette, à la limite s'il y a le trompettiste c'est plus lisible !  Et relire ce qu'on t'a dit, pourquoi se fatiguer puisqu'on le sait ! Peut-être qu'il lira quand il sera piégé, cad quand il ne s'en apercevra pas (quand ce ne sera pas une commande) quand il aura un intérêt vital, ou.... (peut-être !) en voilà un qui te pose la question de la lecture ! et à nous aussi !

 

Emilie

Tout est dans la piscine ! nager, marcher, écrire, lire... même chose.

Oui complètement d'accord! Demain je compte utiliser mon joker "faire un discours sur la vie" pour parler de ça, de notre bateau aussi, du capitaine qui navigue un peu trop dans le brouillard et des côtes à aborder! :)
J'aimerais bien lire de temps en temps ce qui se passe pour tes deux mômes qui ne veulent ni rentrer dans l'eau, ni essayer de nager... zut ! je voulais dire écrire et lire !

Tu sais qu'en plus celui qui n'arrive pas à lire (M) se jette à l'eau, il fait des trucs que je suis bien incapable de faire! il est trop marrant à la piscine! L'an dernier je lui avais même écrit sur son compte-rendu qu'il fallait qu'il se jette à l'eau comme à la piscine dans les mots! Mais bon, ca n'a pas marché!

Je veux bien vous raconter de temps en temps les journées de M et Y, ca va me permettre de voir les choses autrement.
Tiens je vois ton mail Bernard sur "la". L'an dernier il a fait le même coup, le jour de la rentrée j'avais sorti "une histoire à 4 voix", on a parlé bien 10 minutes du titre, du bouquin, j'ai montré les mots en lisant "une histoire à 4 voix", etc et ensuite je lui avais demandé s'il voulait bien relire le titre, dans la foulée, impossible. Mais ça là le 1er mot tu le connais, non? ben non....................... et tu ne te souviens pas?.....non.... bon ben on essaie de déchiffrer... "un", "un neu"....

Hier il faisait des fiches PEMF cp/ce1, il y avait le choix entre 2 mots : "des lunettes de soleil" ou "des trucs de soleil", je ne me souviens plus de la 2eme solution. Il l'avait choisie, je lui dis que ce n'est pas ça, il coche la 1ere et je lui demande de lire. Il fait "une" (ben non enfin M, tu sais bien, celui-ci on le voit tous les jours) donc "des" "huitres" (j'en souris encore!) "de soleil" (soleil est passé tout seul va savoir pourquoi!)... des huitres de soleil? tu es sûr, ca veut dire quelque chose? Un peu hésitant.... il me voit sourire et on finit par rigoler, des huitres de soleil! C'est tous les jours comme ça! On se marre bien mais bon... c'est vraiment décourageant et flippant et énervant par moment!

Bon, je vous raconterai une des ses journées un de ces quatres, vous allez l'adorer! :) Je ne rigole pas, il est vraiment chouette, déconcertant mais chouette!

 

Bernard

"Des huitres de soleil" ! c'est pas génial ça ! et qu'est-ce qu'il pourrait bien y avoir encore "... de soleil" ? et peut-être que ces "huitres" ne sont pas venues inoccement dans le soleil, surtout en Bretagne ! mais au fait, c'est comme dans la piscine ! suffit de faire éclabousser huitres et soleil... et laisser tomber les lunettes !

Je sens que ça démarre ! on attend ses journées et on prépare déjà le fichier

 

Emilie

Je suis en train de regarder un travail d'Yzania (la CM1 qui galère aussi).
On a fait une "phrase éclairée", tu vois ce que je veux dire? Elle devait bien relire à la maison ce qu'on avait noté, notamment un truc sur les pluriels des noms :
un cheval -> des chevaux
un canal -> des canaux

et je demande un autre exemple, elle écrit: un chat -> des chatont !!!!!!!!!!! :))) oui..... donc on va mettre Non Acquis?! Je te jure qu'à tous les 2 ils me font des squetchs incroyables!

C'était une petite paranthèse!

 

Bernard

Comme à la piscine : tu laisse tomber les pluriel et tu embrayes illico avec elle sur les chevreaux ! de toutes façons, les canaux elle s'en fout d'autant qu'elle n'en a ^peut-petre jamais vus, quant aux chevals, il probable qu'elle dit naturellement les cghevaux quand elle en parle, sinon, faut qu'elle ait une raison d'en parler.Finalement, ce que tu leur fait faire est intéressant, non pas parce cu'ils répondent juste ou faux, mais par ce que ça peut révéler et du coup faire rebondir. Les choses se mettent en place ensuite beaucoup plus vite que tout le monde l'imagine parce qu'ils rentrent alors... dans l'eau !
Tes deux cas vont devenir passionnants pour tout le monde et ce sont eux qui vont devenir des passionnés !


Position pendant la réunion

Philippe R (je suis un peu en retrait, c'est encore moi qui parle le plus)


Je fais parti de la réunion. Je peux évidemment prendre la parole. En ce début d'année, c'est d'ailleurs très fréquent, on peut même dire que c'est moi qui parle le pluS.
Physiquement, je suis un peu retrait, je m'occupe à corriger leurs groupèmes. J'écoute bien sûr ... s'il faut (question de stratégie), je m'absente un peu. Je demande la parole en levant le doigt. J'interviens directement pour reprendre un môme qiu chahute et qui perturbe la réunion. Je me donne même le droit -ai-je tort ? - de sortir un môme de la réunion, car il ne semble pas prêt à faire ne pas déranger le gorupe

 

En réunion, je ne m'assois pas avec eux. Je ne prends pas une place comme eux. Je suis, comme je l'ai dit, un peu à l'écart, je reste debout et je suis actif (je m'occupe). Je me permets de bouger, d'afficher des trucs etc.
Bref, je suis présent sans l'être pour ne pas perturber le fonctionnement du groupe, mais en assurant qu'il fonctionne.

 

   
   

 

 

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